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29 août 2008
29 juillet 2008
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22 août 2007
03 mars 2007
08 février 2007
05 septembre 2006
Voici le texte que j'ai écris lors de la préparation des images sur la tonnelerie (et que vous pourrez trouver au début du site).
Telle que mes yeux d'enfants l'ont connue, la tonnelerie familiale a toujours été un lieu ou régnait un certain désordre... l'établi ou s'accumulait les outils, les toiles d'araignées dans les moindres recoins, les machines graisseuses et quelque peu rouillées, le sol envahi de sciures et de copeaux de bois. On avait l'impression en voyant ce tableau qu'une tornade était passée par là. Et pourtant, c'était ce qui faisait le charme de cet endroit...
La lumière qui traversait les fenêtres révélait des nuages de poussière en suspension et faisait se refléter dans les métaux de petits halos de lumières semblables à de petites étoiles. Et quoi de plus beau qu'une pièce de chêne sur laquelle la lumière ambrée du soleil vient se poser, comme un visage d'enfant sur son oreiller moelleux..
Lorsque les nuits s'invitaient de plus en plus tôt, cette lumière dorée laissait place aux néons suspendus, qui donnait à l'atelier une légère ambiance bleutée.. on se sentait alors comme dans un cocon. Comme si l'activité extérieure n'était plus. Les flammes du foyer murmuraient des chants à l'oreille du silence, tandis que des mains endolories et glacées venaient trouver de temps à autres auprès de leur danse un réconfort doux, mais fugace.
La sarabande des hommes reprennait alors au rythme des masses, qui enfoncaient petit à petit les cercles d'acier autour de l'ouvrage sylvain, pour donner naissance à la mère couveuse de ce liquide rouge que nous aimons tant..
Puis les hommes, après avoir fourni cet effort courageux et versé sur le sol des orages de sueur chaude, partaient. Le feu s'éteignait alors peu à peu... en laissant l'obscurité s'étendre en tout coins. Jusqu'au renouveau du lendemain...
Telle que mes yeux d'enfants l'ont connue, la tonnelerie familiale a toujours été un lieu ou régnait un certain désordre... l'établi ou s'accumulait les outils, les toiles d'araignées dans les moindres recoins, les machines graisseuses et quelque peu rouillées, le sol envahi de sciures et de copeaux de bois. On avait l'impression en voyant ce tableau qu'une tornade était passée par là. Et pourtant, c'était ce qui faisait le charme de cet endroit...
La lumière qui traversait les fenêtres révélait des nuages de poussière en suspension et faisait se refléter dans les métaux de petits halos de lumières semblables à de petites étoiles. Et quoi de plus beau qu'une pièce de chêne sur laquelle la lumière ambrée du soleil vient se poser, comme un visage d'enfant sur son oreiller moelleux..
Lorsque les nuits s'invitaient de plus en plus tôt, cette lumière dorée laissait place aux néons suspendus, qui donnait à l'atelier une légère ambiance bleutée.. on se sentait alors comme dans un cocon. Comme si l'activité extérieure n'était plus. Les flammes du foyer murmuraient des chants à l'oreille du silence, tandis que des mains endolories et glacées venaient trouver de temps à autres auprès de leur danse un réconfort doux, mais fugace.
La sarabande des hommes reprennait alors au rythme des masses, qui enfoncaient petit à petit les cercles d'acier autour de l'ouvrage sylvain, pour donner naissance à la mère couveuse de ce liquide rouge que nous aimons tant..
Puis les hommes, après avoir fourni cet effort courageux et versé sur le sol des orages de sueur chaude, partaient. Le feu s'éteignait alors peu à peu... en laissant l'obscurité s'étendre en tout coins. Jusqu'au renouveau du lendemain...
26 juillet 2006
06 juillet 2006
05 juillet 2006
Projet d'animation par contraintes 2005 - maya 6.5Animation using constraints
La vidéo est ici (72 Mo... enregistrez sous)
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